Avoir 20 ans dans le Cantal

Le 21 juin 2012

"Avoir 20 ans dans le Cantal", c'est le dossier du jour dans notre quotidien La Montagne. Une excellente idée de sujet. L'avenir d'un département rural comme le Cantal passe par ses jeunes. Soit on arrive à retenir les jeunes, ou à les faire revenir après leurs études. Soit l'hémorragie continue, et on sera bientôt une réserve naturelle pour retraités. 🙂
Je veux croire en la première hypothèse. En attendant, ce dossier en mettant le focus sur les jeunes, redonne quelques espoirs, et montre, si besoin était, que les jeunes cantaliens prennent des initiatives pour peu qu'on leur en donne l'occasion. A jeuxvideo.com, nous avons été sollicités et ravis de répondre aux questions des jeunes journalistes de l'ESJ qui ont halluciné de découvrir que jeuxvideo.com était basé à Aurillac. Eh oui 🙂

Commentaires

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  1. Eric

    le 21 juin 2012

    Je viens de le lire. Très bonne idée et très intéressant… 🙂

  2. Sacris

    le 7 juillet 2012

    Il est effectivement dur de trouver un travail intéressant dans les départements ruraux avec un certain niveau d’étude ou dans certains domaines…
    Je me pose effectivement la question du devenir de ces territoires…?

  3. djbenvik74

    le 9 septembre 2012

    Je pense que les personnes qui s’installent dans le Cantal sont plus souvent des trentenaires qui ont besoin de verdure et ne supportent plus la ville. La tranche 18-25 a déserté le Cantal car elle ne trouve pas de travail dans le département. S’il est vrai qu’il est difficile de trouver un job avec un bac+3/4/5 sur place, les jeunes qui sortent de bac pro ne sont pas mieux lotis. Est ce normal que sur une promotion de 20 élèves ayant obtenu leur diplôme à Aurillac, la moitié se retrouve au chômage ? C’est plutôt inquiétant. Même pour des emplois peu qualifiés, les offres se font rares.
    Si on ajoute à cela, la « mafia » locale qui n’incite pas les personnes venues de l’extérieur à s’installer et arrivent meme à les dégoûter, il faut avoir un moral d’acier et une grande volonté pour réussir. Bon courage! Le télé-travail est peut être une solution d’avenir pour les départements ruraux ? Cependant, c’est encore trop peu développé en France. Espérons que tout cela change et qu’un jour, le Cantal gagne à nouveau des habitants.