Le Cantal ou... la Corse sans les bombes

Le 7 décembre 2006

C’était il y a 10 ans, un journaliste publiait à la fin de l’été 1996 un portrait au vitriol de notre beau département. L’article était intitulé : Le Cantal ou… la Corse sans les bombes. Un véritable pavé dans la mare cantalienne, que dis-je, un cataclysme !
Je me rappelle qu’à l’époque l’article fit grand bruit dans le Landerneau ! D’ailleurs, même aujourd’hui, il arrive fréquemment que les gens en reparlent. Quant au titre de l’article, il est quasiment passé dans le langage courant ici ! 🙂

L’article, tout le monde en parle, s’en amuse. Mais finalement, rares sont ceux qui l’ont lu et qui s’en souviennent encore fidèlement. D’ailleurs, moi-même, ça faisait longtemps que je le cherchais. Alors comme on vient de me le faire parvenir (merci beaucoup Gérard), je vous le mets ici, puisqu’il est à ma connaissance indisponible sur le site du Figaro.

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Réactions bienvenues : à votre avis, depuis cet article les choses ont-elles changé ? Pourquoi ?

Commentaires

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  1. Point2Vue

    le 8 décembre 2006

    Merci car je n’en avais eu que des extraits jusqu’à présent.
    C’est vraiment excellent et si on datait l’article de 2006, y a t’il beaucoup de choses qui ont changé ? Mêmes constats… Mêmes hommes… Mêmes…
    Bon en tous cas, même avant d’avoir lu l’article, j’avais remarqué que le Cantal était une île. Et d’ailleurs, il faut presque un passeport pour rentrer (surtout quand on est un estranger !).

  2. Lightman

    le 9 décembre 2006

    Point2vue> Allez pour être positif, il y a bien quelque chose qui est en passe de changer : le tunnel du Lioran 🙂

  3. Point2Vue

    le 10 décembre 2006

    Oh oui, on va gagner 20 secondes sur le trajet Aurillac-Clermont… lol

  4. camp

    le 18 décembre 2006

    Toujours d’actualité, cet article nous indique le manque de courage politique des cantaliens ou peut être un manque d’engagement. La population active agricole ne pèse même plus 10%de la population active du département mais la puissance de ses syndicats en font encore une force vive.On en revient toujours à nos élus…..

  5. Vincent BESSAT

    le 18 décembre 2006

    Ben vi, pas grand choses à modifier,notamment pour ce qui est des pouvoirs issus de la sphère agricole, et qui expliquent peut être l’origine partisane de nombre d’élu…